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 James et la Pêche géante

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MessageSujet: James et la Pêche géante   James et la Pêche géante Icon_minitimeMer 13 Mai - 22:56

James et la Pêche géante

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L'histoire de la Pêche géante est celle d'un voyage initiatique. La disparition de ses parents tués par un rhinocéros, précipite le petit James Henry Trotter sous la coupe de ses tantes, Éponge et Piquette, deux mégères qui le font trimer sans relâche.
Un soir, un vieil homme mystérieux lui offre un sac rempli de langues de crocodiles lumineuses qui l'aideront à résoudre tous ses problèmes. Par accident, alors qu'il les laisse tomber au pied d'un arbre, elles font pousser un fruit gigantesque sur le pêcher des tantes qui grossit jusqu’à atteindre 7 mètres de diamètre !.
Celles-ci exploitent le phénomène en faisant payer les curieux, tout en interdisant à James de s'en approcher.
Tenaillé par la faim, le garçon leur désobéit et, après avoir grignoté un bout du fruit, il y creuse un tunnel. En s'enfonçant dans la pêche géante, il se métamorphose en marionnette animée et rencontre des créatures extraordinaires : un criquet pince sans rire, un mille-pattes vantard, une coccinelle maternelle, une araignée élégante, un ver de terre mélancolique et une luciole légèrement " allumée ".
A bord de la pêche entraînée par une nuée de mouettes, cet équipage entreprend un voyage enchanteur au-dessus de l'Atlantique, le plus grand rêve de James. Ce périple est l'occasion pour le petit garçon de retrouver le bonheur et de découvrir l'entraide et l'amitié.




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* Les principaux apports du film au roman de Roald Dahl ne sont pas tous de réussite égale. En symbolisant le contraste entre monde extérieur et monde imaginaire par le passage des acteurs aux marionnettes, Henry Selick enrichit l'œuvre comme n'avait pas su le faire l'illustrateur du roman, qui avait traité les insectes de façon réaliste. La scène sous-marine où James et deux de ses amis affrontent des pirates fantômes, une invention de Selick, permet de relancer l'action, de renouveler les décors, et d'introduire de nouveaux personnages -- en l'occurrence des squelettes, dont celui de Monsieur Jack, que l'on retrouve ici en capitaine des pirates. En revanche, lorsque le scénario fait réapparaître les tantes Éponge et Piquette à la fin, il ne parvient pas à suffisamment justifier cet artifice assez maladroit destiné seulement à exploiter davantage, dans la lignée de la Cruella des 101 Dalmatiens, deux figures truculentes trop vite escamotées dans le roman (où elles sont écrasées par la pêche géante).
La comparaison avec L'Étrange Noël… est malaisée et sans doute inutile.
Parce que, également produit par Tim Burton et Denise Di Novi, il affiche cette fois la mention " Walt Disney Pictures présente… " et, ici ou là, porte la marque du studio (le scénario est signé par les coscénaristes du Roi Lion).
Parce que -- c'est le point faible -- Randy Newman n'est pas Danny Elfman, et que quelques chansons bancales ne font pas une comédie musicale.
Parce que, s'inspirant du premier roman pour enfants de l'auteur de Charlie et la Chocolaterie (plus tard réalisé sur la toile par Tim Burton), il s'adresse résolument au jeune public (lequel n'apprécie pas toujours les écarts du film : il semble bien que la scène des squelettes de pirates effraie quelque peu avant cinq ans), même s'il peut enchanter les parents.
Parce que les sources d'inspiration et les références affichées sont nouvelles : le voyage dans la pêche évoque l'escargot de Dr. Doolittle, l'épisode océanique se réfère à Pinocchio, les insectes s'inspirent de personnages de tous horizons (on trouve par exemple Sherlock Holmes en criquet, Popeye en mille-pattes, le ver d'Alice au pays des merveilles en luciole, la compagne de Steed dans Chapeau melon et bottes de cuir en araignée)…
Parce que, mêlant de nombreuses techniques et enchaînant différentes esthétiques, il ne s'offre pas au spectateur comme l'objet rond et uniforme promis par le titre. Selick semble même avoir pris plaisir à multiplier les effets : ainsi, alors que les quarante-cinq minutes centrales du film seulement sont animées, 370 des 560 plans du film sont des images composites intégrant divers procédés d'effets visuels (infographie, assemblages numériques ou optiques, etc.). L'océan et le requin mécanique, qui rappellent irrésistiblement l'univers de La Cité des enfants perdus, sont des créations infographiques s'intégrant parfaitement à l'ensemble. Plus simplement, le cauchemar de James-marionnette, associant dessins et photographies animés selon la technique des papiers découpés, répond aux rêveries de l'enfant, dessinées aux pastels gras. Quant au terrible rhinocéros responsable de la mort des parents, il apparaît en images de synthèse, sous forme d'une nuée sombre dont les volutes roulant sur elles-mêmes suffisent à symboliser le refoulé (la disparition des parents est d'ailleurs esquivée par une ellipse aussi audavieuse que nécessaire).
Enfin parce que l'opposition entre monde enchanté et monde réel, peu marquée dans L'Étrange Noël… (les personnages de notre monde, représentés par des marionnettes, étaient simplement cadrés sous le menton), est cette fois concrétisée par l'opposition -- comme dans Alice de Jan Svankmajer ou dans Roger Rabbit -- entre animation et prises de vues réelles (avec un défaut courant : la direction d'acteurs n'étant pas le principal talent d'un animateur, la moitié du film, caricaturale et outrancière, sera assez difficile à supporter par les adultes qui à l'inverse entreront facilement dans l'univers animé).
Afin d'accentuer le contraste, les décors des prises de vues réelles sont froids et ostensiblement factices, à la manière de décors de comédie musicale (pour les sirupeux moments de bonheur familial) ou d'opéra gothique (pour l'oppressante et sombre tutelle des tantes), tandis qu'au contraire l'intérieur de la pêche est traité en matières et couleurs chaudes, palpables, " vivantes ", évoquant le bien-être… Le final, combinant décor réaliste et décor de théâtre, acteurs et marionnettes, fait la synthèse entre monde réel et monde enchanté, assimilant à la pêche géante une certaine vision idéalisée de New York -- " La Grosse Pomme ", faut-il le rappeler ?

* James et la Pêche géante est le 47e long-métrage d'animation des studios Disney, sorti en 1996. Réalisé par Henry Selick d'après le roman de Roald Dahl, James et la grosse pêche, et co-produit par Touchstone (filiale de Walt Disney Pictures) et Skellington Inc. Tim Burton utilise la technique d'animation image par image, comme L'Étrange Noël de Monsieur Jack.


* Cinq chansons ont été écrites par Randy Newman (que l'on retrouve aussi sur Toy Story, 1001 pattes, Monstres & co et Cars) pour le film :
- Appelle moi James (My Name is James) - James
- Cette vie-là me convient (That's the Life) - Les insectes
- Pêche (Eating the Peach) - Les insectes
- Quelle belle famille (We're Family) - James et les insectes
- Tous à la Mer/Cette Vie-Là Me Convient (Reprise) (Good News) - Les insectes
- La vie - Chanteur


* Les scènes de fantaisie ont été filmées en animation en volume puis retravaillée sur ordinateur[3]. Les prises de vues réelles ont été réalisées dans un ancien grand hangar d'une base de la marine américaine sur Treasure Island et à Hunters Point dans la baie de San Francisco.
L'animation en volume a été réalisée par le studio Skellington Productions de Tim Burton, déjà utilisé pour L'Étrange Noël de monsieur Jack (1993). Plus de 50 péchers à différentes échelles ont été réalisés allant de 7,5 cm de haut à 6 m de diamètre.


* Un livre souvenir, sous la forme d'un album photo réalisée par Lucy Dahl., l'une des deux petites filles de Roald Dahl, été édité par Disney Press au moment de la sortie du film.
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